18 avril 2024

Covidémence, jusqu’où iront-ils ?!

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« La démocratie a joué son rôle à plein dans un contexte où le virus est liberticide ». Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement

La boite de Pandore semble avoir été ouverte depuis les annonces de Macron voilà à présent deux semaines.

Pas un jour depuis lors sans une annonce plus délirante que la précédente : remise en cause du droit de vote pour les non vaccinés, listes interminables de professionnels soumis à la piquouze obligatoire (personnels des hôpitaux, cliniques, Ehpad et maisons de retraite, sapeurs pompiers, de certains militaires, ainsi que pour les professionnels et bénévoles auprès des personnes âgées, y compris à domicile) sauf à accepter une interdiction d’exercer, avec suspension de salaire.

Et l’énumération ne s’arrête pas là, le pass sanitaire doit être étendu aux cafés, restaurants, foires et salons professionnels, ainsi qu’aux avions, trains, cars longs trajets. Mais aussi aux centres commerciaux sur décision des préfets. Cerise sur le gâteau, interdiction d’accès aux établissements médicaux sauf urgence.

Reste à définir l’urgence et à rembourser les cotisations sociales des non vaccinés car désormais il vaut mieux (officiellement) être un « sans papier » bénéficiant de l’Aide Médicale d’Etat, qu’un français sans pass.

Face à cette dystopie invraisemblable, ce coup de pied au QR inédit, les manifestations se multiplient, la colère gronde. Mais loin de les faire reculer, ils accélèrent, passent la démultipliée : les enseignants seront très probablement concernés à la rentrée.

Plus généralement, l’offensive se poursuit et le petit dictateur en chef semble s’amuser de la situation, nous toise depuis l’autre bout du monde avec morgue et mépris : « Je ne crois pas qu’il y ait grande efficacité à manifester contre le virus » a-t-il déclaré entre deux doses mais ni de Pfizer ni de Moderna…

A ce titre, l’autorité parentale est également attaquée frontalement de sorte que les plus de 16 ans n’auront plus besoin de cette autorisation tandis que les jeunes de 12 à 16 ans se contenteront de l’assentiment d’un seul des deux parents. Quand on sait l’état des familles, la généralisation dramatique des divorces, l’on mesure le cynisme proprement démoniaque de nos geôliers.

Cette pénible énumération appartient d’ailleurs d’ores et déjà au passé tant il est aujourd’hui évident que la vaccination pour TOUS deviendra obligatoire dans les semaines à venir.

Nul ne pourra s’y soustraire du nouveau né au vieillard cacochyme, tous devront être piqués , deux doses pour commencer puis deux autres, et ainsi de suite. Après tout quand on aime on ne compte pas et nos dirigeants nous aiment visiblement énormément !

 

Ne cédons cependant pas à la dépression ou au défaitisme, des solutions existent, je vous renvoie chers lecteurs à mon article sur le sujet et à l’entretien réalisé par Manu de Fabrice Di Vizio. Dans lequel il déclara cette chose fondamentale, toute règle comporte des failles et peut être contournée.

J’ajouterais que le caractère obligatoire est une illusion, car seule la mort est obligatoire et inéluctable. Pour le reste, tout est question de choix, de ce que l’on est prêt à sacrifier à sa liberté, à sa dignité, à ses enfants.

« Les français se révolteront lorsqu’ils auront plus mal que peur » avait l’habitude de déclarer le regretté Serge de Beketch. Me concernant je n’ai plus peur et je commence à avoir sacrément mal au … et pas que.
A ce stade, une guerre totale nous a été déclarée, manifester est un bon début, boycotter une arme à notre disposition mais ne nous berçons pas d’illusions, face à la situation qui est la notre aujourd’hui, je crains que ce ne soit pas suffisant.

Qui résistera, verra.


Article écrit par Jules pour le Réveil des Moutons

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